Elégie d’Issay Dobrowen : on s’en moucherait

[4.3/5]

Elégie d'Issay Dobrowen au piano

Elégie d'Issay Dobrowen est un morceau bien triste... on s'en moucherait !

 

 

C’est qui Issay Dobrowen ?

On sait peu de choses sur ce morceau et sur son compositeur, Issay Dobrowen. Plus exactement, la page Wikipedia française n’est pas très expansive à son sujet. C’est beaucoup plus détaillé sur la page allemande, ou même coréenne. Pourtant le type est Soviétique à la base. Allez comprendre.

J’ai juste noté qu’il est parti vivre en Norvège, ce qui fait beaucoup de pays en quelques phrases... C’est ma seule info vaguement intéressante sur le bonhomme.

J’ai écouté plusieurs de ses compositions : mouaif... Donc je ne peux rien vous recommander d’autre, mais cette Elégie, c’est la classe, non ? Je peux vous dire qu’elle en a fait pleurer plus d’un. En tout cas moi elle m’émeut aux larmes. C’est pourquoi j’ai toujours un mouchoir dans ma poche : parfois je m’arrête en plein milieu, je pleure un bon coup, je me mouche et je reprends. Ensuite je dois couper au montage.

C’est quoi une élégie ?

Ce morceau est triste, et ce n’est pas étonnant (je cite Wikipedia, ma principale source d’inspiration) : une élégie est un poème caractérisé par son ton plaintif, particulièrement adapté à l’évocation d’un mort ou à l’expression d’une souffrance amoureuse due à un abandon ou à une absence. Un truc festif, quoi…

Nous célébrons donc ici le départ d’un proche de l’ami Dobrowen. L’histoire n’en dit pas plus, mais sa musique nous aide à souffrir avec lui. Vous voulez un mouchoir ?

La partition, peut-être ?

La partition, appartenant au domaine public, est disponible ici : http://www.piano-partage.fr/docs/Dobrowen_-_Elegie_-no_opus-.pdf

Un grand merci à PikaPianist qui m’a fait découvrir cette Elégie.

Une pensée sur “Elégie d’Issay Dobrowen : on s’en moucherait

  1. Pat de Méru

    Bon,; sympa ! Mais après avoir bien écouté, cet énième test confirme que j'ai bien un cœur de pierre : j'avoue, je n'ai pas eu la moindre larme, le plus petit frisson... Comme dirait Denisot : 'désolé...' !

    Répondre

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